Quand le code appelle named-checkzone pour le contrôle de syntaxe DNS,
les messages renvoyés par cet utilitaire de contrôle sont lus et
interprétés, puis remontés à l’utilisateur.
Ce n’est pas parfait et ça donne une espèce de franglais, mais ça
suffira pour la démo et tant qu’on ne laisse pas les élèves manipuler
directement les fichiers de zone. Dans le cas contraire, il faudra
améliorer cela.
On met tout derrière un proxy inversé, ce qui permet d’avoir un seul
point de connexion depuis lequel on a accès à la console Web du
démonstrateur. La webmail est intégrée via une iframe.
Intégrer un petit éditeur de texte dans l’éditeur de zone DNS, pour améliorer
l’expérience utilisateur.
Par défaut, cet éditeur ne fournit pas de règles de coloration
syntaxique pour les fichiers de zones DNS. Il faut donc un build custom
qui l’ajoute.
On refait complètement la page de l’éditeur de zones pour que ce soit un
peu plus joli, et on active la coloration syntaxique pour le DNS.