spf-dkim-dmarc-demo/INSTRUCTIONS.md

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Raw Blame History

Instructions détaillées

Démarrage et prise en main

Le plus simple est de faire fonctionner le démonstrateur sur une machine virtuelle Linux dotée de Docker qui soit accessible en SSH.

Le démonstrateur démarre un serveur Web sur le port 8225. Pour des raisons de sécurité, ce service nest accessible que sur la boucle locale de votre machine virtuelle. Pour pouvoir lutiliser sur votre machine, il vous faut vous connecter à la machine qui exécute le démonstrateur à laide de la commande:

$ ssh -L 8225:localhost:8225 <nom de votre machine>

Vérifiez que Docker et tmux soient bien installées sur la machine exécutant le démonstrateur.

Rendez-vous dans le répertoire dans lequel vous avez cloné le dépôt Git du démonstrateur, puis démarrez lenvironnement en exécutant le script start.sh:

$ ./start.sh

Vous devriez alors voir safficher une fenêtre comme celle-ci (TODO capture décran)

Notez la dernière ligne du terminal, qui indique une liste de fenêtres. Ce sont des onglets: vous pouvez cliquer sur lun des cinq onglets («Système», «Expéditeur», «Destinataire», «Attaquant», «DNS») pour changer de point de vue.

Si la souris ne fonctionne pas, il est possible dutiliser le clavier pour changer de fenêtre: pour cela, tapez Ctrl+B, relâchez toutes les touches, puis tapez le chiffre entre parenthèses (compris entre 0 et 4 inclus) correspondant au numéro de la fenêtre que vous souhaitez afficher.

En parallèle, dans un navigateur, ouvrez un nouvel onglet et connectez-vous à ladresse http://localhost:8225. Vous devriez obtenir une page de connexion pour la webmail Roundcube. Connectez-vous avec lidentifiant destinataire et le mot de passe PasSecretDuTout. Vous devriez alors arriver sur une boîte mail entièrement vierge.

La fausse confirmation de commande

Nous allons étudier le cas dun attaquant qui usurpe lidentité de lentreprise pour envoyer de fausses confirmations de commande. Ces confirmations de commande, qui font croire à une commande pour des milliers deuros de produits, sont conçues pour faire peur et pousser la victime à cliquer sur le lien dannulation présent dans le mail et remplir ses informations de carte bleue.

Envoi dun mail légitime

Tout dabord, pour tester le système, envoyez un mail de confirmation de commande légitime en utilisant linfrastructure de lexpéditeur:

  1. Dans le terminal, basculez sur la fenêtre Expéditeur.

  2. Exécutez le script denvoi de mail de confirmation avec la commande ./scripts/send_confirmation_email.sh (vous pouvez utiliser la touche Tab pour compléter les noms de fichiers et de répertoires).

  3. Dans la boîte mail du destinataire devrait apparaître un nouveau message: une confirmation de commande pour une savonnette.

Envoi dun mail frauduleux

Il est maintenant temps de passer du côté de lattaquant et denvoyer votre premier courriel frauduleux. Pour cela:

  1. Dans le terminal, basculez sur la fenêtre Attaquant.

  2. Exécutez le script de lattaquant avec la commande ./scripts/send_email.py.

  3. Sélectionnez le scénario Fausse confirmation de commande en tapant 2 puis Entrée.

  4. Utilisez la même adresse dans lenveloppe SMTP que dans le corps du mail: sélectionnez le choix 1.

  5. Utilisez le HELO par défaut en tapant directement Entrée.

  6. Najoutez pas de signature DKIM en tapant directement Entrée.

Le script remet ensuite le courriel frauduleux au serveur du destinataire. Ce faisant, le programme affiche les échanges au moyen du protocole SMTP.

La première ligne, 220 mx.destinataire.example ESMTP Postfix, indique que le serveur est prêt. Notez en particulier:

  • la commande MAIL FROM, qui donne une adresse e-mail qui nest pas celle de lattaquant;
  • le corps du message, transmise après la commande DATA, qui contient une ligne From dont ladresse e-mail est également fausse.

Et lorsque vous affichez la boîte de réception du destinataire, vous verrez quune fausse confirmation de commande a bien été remise dans la boîte de réception.

Vous venez de réaliser votre première usurpation didentité!

Installation de la politique SPF

Nous allons maintenant nous défendre contre ce scénario précis en déployant une politique SPF.

Avec SPF, nous allons spécifier que seul le serveur de expediteur.example, cest-à-dire la machine qui a envoyé la vraie confirmation de commande, a le droit denvoyer des courriels avec ce nom de domaine. Cela se fait en ajoutant une entrée TXT dans la zone expediteur.example dont le contenu suit les règles de SPF.

Pour cela:

  1. Dans le terminal, basculez sur la fenêtre DNS.

  2. Ouvrez le fichier de zones pour expediteur.example avec la commande:

    nano example/expediteur.zone
    
  3. Utilisez les flèches du clavier pour atteindre la ligne repérée par le commentaire ;; Politique SPF, puis supprimez le caractère ; en début de ligne pour activer la politique SPF.

  4. Sauvegardez le fichier de zone modifié (tapez Ctrl+O puis Entrée), puis quittez (en tapant Ctrl+X).

  5. De retour à linvite de commandes, rechargez le fichier de zones avec la commande:

    nsd-control reload expediteur.example
    

    Vous devriez voir le message «ok». Sinon, cela signifie quune erreur de syntaxe sest glissée dans le fichier de zone.

  6. Interrogez le DNS pour vérifier que votre politique SPF a été bien installée, avec la commande:

    dig TXT expediteur.example
    

    Dans laffichage de cette commande, vous devriez pouvoir identifier la politique SPF que vous venez dinstaller.

Pour les lecteurs avertis: normalement, après chaque modification dun fichier de zone, il faudrait incrémenter le numéro de série contenu dans lentrée SOA. Pour simplifier les choses, le démonstrateur a été conçu pour que cette manipulation ne soit pas nécessaire. Par ailleurs, les TTL de toutes les entrées DNS servies dans ce démonstrateur est fixé à 0 pour que les effets soient visibles immédiatement, juste en rechargeant le fichier de zones dans nsd.

Activation du contrôle SPF chez le destinataire

Ce que vous venez de faire est la configuration nécessaire chez lexpéditeur.

Cependant, si vous réessayez denvoyer le même mail frauduleux via la fenêtre «Attaquant», vous verrez que le mail passe toujours. Comment est-ce possible?

Vous avez certes installé une politique SPF pour expediteur.example, mais le serveur de courriels chez destinataire.example ne fait pas encore de contrôle de politiques SPF. Il sagit dactiver cela. Pour ce faire, procédez ainsi:

  1. Dans le terminal, basculez sur la fenêtre Destinataire.

  2. Ouvrez le fichier de configuration principal du serveur mail dans un éditeur de texte:

    nano /etc/postfix/main.cf
    
  3. Repérer la ligne qui suit le commentaire «Décommenter pour activer le contrôle SPF au niveau SMTP» (celle qui commence par smtpd_recipient_restrictions). Sur cette ligne, supprimez le caractère # et lespace qui suivait ce caractère (cest important; ne laissez pas de blanc au début de la ligne).

  4. Sauvegardez le fichier ainsi modifié (Ctrl+O, Entrée) puis quittez (Ctrl+X).

  5. Informez le serveur de courriel que sa configuration a été modifiée, quil doit la relire et la prendre en compte:

    postfix reload
    

    Un message devrait apparaître, indiquant que Postfix est en train de relire la configuration.

Victoire?

En enfilant le chapeau de lattaquant, essayez denvoyer une fausse confirmation de commande avec les mêmes paramètres que plus haut. Vous verrez que les choses ne se passent plus comme prévu: le serveur de courriels du destinataire refuse désormais le message. En fait, lattaquant na même pas loccasion denvoyer le contenu du courriel, car cest ladresse de lexpéditeur dans la commande MAIL FROM qui est contrôlée.

Dailleurs, vous pouvez vérifier que les vraies confirmations de commande passent toujours: depuis la fenêtre Expéditeur, relancez le script denvoi de-mail de confirmation. Vous verrez ce courriel apparaître quelques secondes plus tard dans la boîte de réception du destinataire.

SPF tout seul ne suffit pas

Peut-on crier victoire? Pas tout de suite. Lattaquant peut encore contourner cette mesure.

Sur un courrier physique, on peut écrire une adresse retour sur lenveloppe et une adresse différente sur le papier à en-têtes quon glisse dans lenveloppe. Un attaquant peut faire la même chose avec un courriel, ce qui a pour effet de contourner la protection que devait apporter SPF.

Envoi dun mail frauduleux avec une enveloppe différente

Pour voir cela en action, procédez ainsi:

  1. Dans le terminal, basculez sur la fenêtre Attaquant.

  2. Exécutez le script de lattaquant avec la commande ./scripts/send_email.py.

  3. Sélectionnez le scénario Fausse confirmation de commande en tapant 2 puis Entrée.

  4. Cette fois, utilisez une adresse différente dans lenveloppe SMTP: sélectionnez le choix 2, et non pas 1 comme vous le faisiez précédemment.

  5. Utilisez le HELO par défaut; tapez directement Entrée.

  6. Najoutez pas de signature DKIM; tapez directement Entrée.

Cette fois, le courriel est accepté par le serveur SMTP: lattaquant a prétendu que le courriel frauduleux venait de chez lui dans lenveloppe; mais dans le courriel lui-même, visible après la commande DATA, lattaquant se fait toujours passer pour le service client. De plus, cest toujours ladresse du service client qui apparaît dans les en-têtes que voit le destinataire dans son logiciel de courriels.

Pour se défendre contre cela, nous avons besoin de DMARC. DMARC requiert que lexpéditeur ait mis en place SPF, mais aussi DKIM. Nous allons donc installer DKIM dans un premier temps, puis mettre en place DMARC pour compléter notre protection.

Génération de clefs DKIM

DKIM consiste à signer cryptographiquement le corps et certains en-têtes de courriels. Dans linfrastructure de lexpéditeur, cest le logiciel opendkim qui se charge dinsérer les signatures. Ce même logiciel est aussi responsable de la vérification des signatures DKIM chez le destinataire.

La première chose à faire est de générer des clefs DKIM chez lexpéditeur. On en génère deux: le premier est utilisé tout de suite et le second est une clef de réserve. Les clefs cryptographiques ont besoin dêtre renouvelées régulièrement, donc lorsque la première clef est retirée du service, une troisième clef est générée et toutes les signatures se font avec la deuxième clef.

Générons des clefs DKIM pour le domaine expediteur.example. Pour cela, procédez ainsi:

  1. Dans le terminal, basculez sur la fenêtre Expéditeur.

  2. Créez larborescence de répertoires nécessaire pour gérer proprement les clefs:

    cd /etc/opendkim/keys
    mkdir expediteur.example
    cd expediteur.example
    
  3. Génerez ensuite deux clefs. On utilise les sélecteurs demo1 et demo2. Le choix des sélecteurs est libre (vous pouvez choisir toto1 et toto2 par exemple), mais il faut utiliser les bons sélecteurs partout pour que les courriels soient correctement signés.

    Tapez deux fois la commande opendkim-genkey ci-dessous, ceci afin de bien générer deux clefs différentes :

    opendkim-genkey -d expediteur.example -b 2048 -s demo1
    opendkim-genkey -d expediteur.example -b 2048 -s demo2
    
  4. Donnez les bonnes permissions pour que le logiciel opendkim puisse accéder aux clefs privées:

    chown -R opendkim /etc/opendkim/keys
    

Les clefs sont maintenant générées. Les clefs privées, à garder secrètes, se trouvent dans des fichiers appelés demo1.private et demo2.private. Les clefs publiques, quant à elles, se trouvent dans les fichiers demo1.txt et demo2.txt et doivent être publiées dans le DNS.

Publication des clefs publiques DKIM dans le DNS

Létape suivante est donc de publier les clefs publiques dans le DNS:

  1. Toujours dans la fenêtre Expéditeur, obtenez les clefs publiques:

    cat demo1.txt demo2.txt
    
  2. Les clefs publiques se présentent sous le format nécessaire pour un fichier de zone DNS. Sélectionnez à la souris lintégralité de la sortie de la commande précédente (il se peut que vous ayez besoin de maintenir la touche Maj enfoncée pour pouvoir sélectionner), puis copiez cette sélection dans le presse-papiers.

  3. Basculez sur la fenêtre DNS.

  4. Éditez le fichier de zone pour le domaine expediteur.zone, comme pour linstallation de la politique SPF:

    nano example/expediteur.zone
    
  5. Placez le curseur au début de la ligne suivant immédiatement le commentaire ;; Clef publique DKIM. Supprimez cette ligne, puis collez le contenu du presse-papiers (suivant le terminal que vous utilisez, la combinaison de touches à utiliser est Ctrl+Maj+V ou Maj+Inser). Il se peut que laffichage de léditeur nano soit perturbé par ce collage; tapez Ctrl+L pour forcer un rafraîchissement complet de lécran. Vérifiez que vous avez bien ajouté deux entrées DNS de type TXT: une pour chaque clef.

  6. Sauvegardez et quittez léditeur. Rechargez la zone:

    nsd-control reload expediteur.example
    
  7. Vérifiez la bonne présence de clefs DKIM avec dig:

    dig TXT demo1._domainkey.expediteur.example
    dig TXT demo2._domainkey.expediteur.example
    

Terminer la configuration de DKIM chez lexpéditeur

Nous avons donc bien publié nos clefs DKIM dans le DNS. Finissons de configurer opendkim chez lexpéditeur:

  1. Rebasculez sur la fenêtre Expéditeur.

  2. Éditez le fichier /etc/opendkim/opendkim.conf et décommentez les deux lignes, à la fin du fichier, commençant par SigningTable et par KeyTable respectivement. Là encore, pensez bien à supprimer le caractère # mais aussi lespace qui le suivait.

  3. Éditez le fichier /etc/opendkim/signing_table et décommentez la ligne commençant par expediteur.example. Ceci active lajout de signatures DKIM pour ce domaine et spécifie que la clef de signature à utiliser est celle dont le sélecteur est demo1.

  4. Éditez le fichier /etc/opendkim/key_table et décommentez les deux lignes commençant par demo1._domainkey.expediteur.example et demo2._domainkey.expediteur.example respectivement. Ceci spécifie lemplacement des fichiers de clef privées associées aux clefs que nous comptons utiliser pour expediteur.example.

  5. Informez opendkim de la nécessité de recharger sa configuration en tapant la commande:

    killall -USR1 opendkim
    

Le serveur Postfix de lexpéditeur est déjà configuré pour que les courriels sortants passent par opendkim avant dêtre remis au serveur mail destinataire. Mais il faut aussi que le serveur de courriels du destinataire vérifie les signatures!

Configurer la vérification DKIM et DMARC chez le destinataire

Nous allons faire dune pierre deux coups et activer à la fois la vérification DKIM et DMARC chez le destinataire. Pour cela:

  1. Basculez sur la fenêtre Destinataire.

  2. Placez-vous sur la ligne qui suit le commentaire # Décommenter pour activer DKIM et DMARC. Supprimez le # et lespace qui suivait ce caractère.

  3. Sauvegardez, quittez puis notifiez Postfix dun changement de configuration (postfix reload).

Essai de DKIM

Nous allons maintenant envoyer une nouvelle confirmation de commande, qui devrait désormais arriver dans la boîte de réception du destinataire munie dune signature DKIM:

  1. Basculez sur la fenêtre Expéditeur.

  2. Renvoyez le mail de confirmation de commande:

    cd /home/expediteur
    ./scripts/send_confirmation_email.sh
    

Vous devriez voir un nouveau courriel non lu chez le destinataire. Ouvrez-le, puis cliquez sur «En-têtes» pour visionner lintégralité des en-têtes. Notez lapparition de plusieurs nouveaux en-têtes.

Les en-têtes Authentication-Results ont été insérés par le système destinataire, au moment du contrôle SPF, DKIM (et aussi DMARC). Notez le spf=pass, dkim=pass et dmarc=none: cela signifie que le courriel a été émis par un serveur autorisé par la politique SPF, que la signature DKIM est bonne mais quil ny avait aucune politique DMARC.

Vous devriez aussi voir un en-tête DKIM-Signature, contenant la signature DKIM.

Dépannage

Si le courriel narrive pas, il se peut quil nait pas pu être signé par opendkim. Le symptôme est lapparition, dans la fenêtre Système, de messages comme:

milter-reject: END-OF-MESSAGE from localhost[127.0.0.1]: 4.7.1 Service unavailable - try again later; from=<support@expediteur.example> to=<destinataire@destinataire.example>

Dans ce cas:

  • vérifiez quil ny ait pas eu derreurs dans la configuration dopendkim;
  • vérifiez que le compte UNIX opendkim ait bien accès aux clefs privées.

Après contrôle, il est possible de resoumettre le message avec la commande postqueue -f. Le courriel devrait arriver dans la boîte du destinataire.

DMARC, la clef de voûte

À ce stade, nous navons toujours pas contrecarré la campagne de hameçonnage que mène lattaquant au moyen de ces fausses confirmations de commande. Cest là où DMARC entre en jeu.

Maintenant que le système destinataire contrôle SPF, DKIM et DMARC, nous pouvons protéger lexpéditeur en ajoutant une politique DMARC.

Configuration DMARC chez lexpéditeur

Pour configurer DMARC chez lexpéditeur:

  1. Basculez sur la fenêtre DNS.

  2. Ouvrez une nouvelle fois le fichier de zone du domaine expediteur.example.

  3. Repérez la ligne ;; Politique DMARC. Décommentez la ligne suivante en supprimant le caractère ;. Changez le p=none en p=reject.

  4. Rechargez le fichier de zones, puis vérifiez la bonne publication de la politique DMARC avec la commande dig TXT _dmarc.expediteur.example.

Lattaquant est-il vaincu?

Voyons voir maintenant si les mails dhameçonnage de lattaquant passent encore. Pour rappel:

  1. Dans le terminal, basculez sur la fenêtre Attaquant.

  2. Exécutez le script de lattaquant avec la commande ./scripts/send_email.py.

  3. Sélectionnez le scénario Fausse confirmation de commande (choix 2).

  4. Utilisez une adresse différente dans lenveloppe SMTP (choix 2).

  5. Utilisez le HELO par défaut; tapez directement Entrée.

  6. Najoutez pas de signature DKIM; tapez directement Entrée.

Cette fois, après que lattaquant ait envoyé le mail complet, le serveur de courriels du système destinataire effectue le contrôle SPF, DKIM et DMARC. Le message ne passe pas le contrôle et est rejeté par le serveur: on peut le voir avec lerreur 550 5.7.1 rejected by DMARC policy for expediteur.example, vers la fin de la conversation.

Vous pourrez ensuite vérifier que les confirmations de commande authentiques passent encore.

Et les sous-domaines?

(TODO: Les newsletters ne marchent plus; cest parce que la politique DMARC p=reject sapplique aux sous-domaines de expediteur.example. Il manque aussi une politique SPF pour newsletter.expediteur.example et des clefs DKIM pour ce sous-domaine.)